PAPILLON Z et GARFIELD DE TIJI DES TEMPLIERS, les deux coups de cœur de Jérôme Guéry
Retour sur la trajectoire exemplaire de deux étalons approuvés à la monte par le SBS
Les étalons approuvés à la monte par le SBS cartonnent, c’est un fait! De génération en génération, d’un bout à l’autre de la planète équestre et sous un véritable arc-en-ciel de couleurs. Pour le plus grand bonheur de leurs éleveurs, propriétaires, cavaliers et de tous ceux qui leur ont fait, leurt font et leur feront confiance.
Mais la satisfaction est plus grande encore lorsqu’ils signent leurs exploits sous la selle de cavaliers belges, comme deux d’entre eux le font actuellement. PAPILLON Z (Perhaps vh Molendreef/Cassini-I) et GARFIELD DE TIJI DES TEMPLIERS (Quasimodo Z/Goldspring de Lauzelle) partagent en effet les écuries et l’attention de Jérôme Guéry qui ne tarit pas d’éloges à leur propos:
«PAPILLON est mon cheval de cœur», commente-t-il. «Ensemble, nous avons vécu ma première victoire en CSI***** et la qualification pour les Jeux Olympiques. Aujourd’hui, PAPILLON a 15 ans. Le temps est donc venu de le ménager même s’il reste compétitif dans de grosses épreuves comme les qualificatives pour les Grands Prix. Nous avons décidé avec son propriétaire Yves Woitrin qu’il finirait ses jours chez moi et j’en suis très heureux.»
Quant à son cadet GARFIELD DE TIJI DES TEMPLIERS, 11 ans, il s’impose comme la valeur montante de l’écurie Guéry. «Il est arrivé chez nous en août dernier et je ne pensais pas qu’il progresserait aussi rapidement», commente le cavalier. «Jusqu’à ce que Jean-Claude Benali me le confie, il évoluait en CSI**, et quelques semaines après son arrivée, il s’est classé 3e du Grand Prix Sires of the World à Lanaken. Il s’améliore à chaque concours. Il y a quinze jours, il a participé à son premier Grand Prix***** au Saut Hermès à Paris, une épreuve hyper technique dans laquelle il n’a commis qu’une seule petite faute sur un obstacle que de nombreux autres concurrents ont aussi renversé. Tout cela est de très bon augure pour le futur», poursuit Jérôme Guéry qui confie: «Sans doute ai-je trouvé mon nouveau cheval de Grand Prix, le digne successeur de Papillon car il est vrai qu’il se passe quelque chose de spécial entre Garfield et moi!» (CA)